La semaine dernière dans le Journal Métro, une chronique juridique a véhiculé des mythes sur la transmission du VIH.
La COCQ-SIDA a jugé important d’apporter des nuances à ce texte, notamment en ce qui a trait à la criminalisation de la non-divulgation du statut sérologique.
«[Cette] chronique alimente la stigmatisation en renforçant, à tort, l’idée qu’une personne vivant avec le VIH est intrinsèquement dangereuse. La personne séropositive n’est pas le VIH et elle mérite le même respect et la même empathie que tout être humain.»
Cocq Sida