Dans un article récent du Journal Métro, le président du conseil d’administration de la COCQ-SIDA, Guy Gagnon, le député solidaire Vincent Marissal et le chef de l’unité scientifique des ITSS à l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), Pierre-Henri Minot, font le point sur la lutte contre le VIH au Québec et sur les nombreux obstacles qui persistent.
Un autre article souligne que la situation est particulièrement préoccupante à Montréal, où sont dénombrées 59,6% des nouvelles infections au VIH. En cause, l’inertie de l’administration Plante et de l’initiative Montréal sans sida (dont le site Web semble avoir été fermé).
La classe politique doit se remobiliser à tous les niveaux dans la lutte contre le VIH si on veut garder le cap sur 2030 et atteindre un Québec sans sida.
Le milieu communautaire a les solutions en main, mais manque de moyens et de soutien gouvernemental. Nous ne demandons que l’occasion de rencontrer les décideur·es afin d’établir des partenariats fructueux et, ensemble, pouvoir dire un jour que nous avons mis fin au VIH sur le territoire québécois.